Pierre Tal Coat

Tal Coat peint le frémissement du passage

"Voir et faire" car "Ce faire rend visible...!

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Au regard dans l’instant qui autre n’est plus de même visage. Le Temps ! J’étais là, ici présent ; maintenant comment dire et faire qui n’est, ne soit contenu de l’artificielle limite. " Pour bien voir, il faut faire quelque chose et ce faire conditionne notre vision du monde. Dessiner, marcher, labourer modifie toujours notre regard, ce faire transforme notre vision et nous transforme nous-même.  s’articule mutuellement dans un véritable cercle de la forme en formation. Ce faire rend visible. Le faire apprend à voir. Il aiguise le regard…

L’œil scrute et écoute à travers le visible le surgissement de l’invisible présence des choses.

     

   

 

Ses rencontres avec la nature vont se multiplier et seront enregistrées par la brève silhouette d’un lac, d’une meule de blé ou d’un vol d’oiseaux

      Entre deux

 

paroles et peintures

avec André du Bouchet

"En ces lieux déserts, habités de l'invisible lieu

dans le frémissement du passage, le silence, l'ici attentif,

sont toutes choses à dire qui relient et font qu'ainsi,

habité et porté de l'univers de l'indicible lieu, il est l'Ouvert."

Tal Coat,    Vers ce qui  fût est ma profonde raison de vivre, Lausanne, 1985, p. 36


 

Lors de la guerre d’Espagne, Tal Coat dessine des Massacres, griffures brèves et tragiques

                                 


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